dimanche 18 novembre 2012

Menu à bas IG du lundi 19 novembre 2012





P’tit déj GP
Jus de fruits











Biscottes









Jambon dégraissé
1 carré 0%
Café

Déjeuner PL
Boudin noir grillé
Pommes rôties












Salade
Fromage
Une orange










Dîner GP
Soupe de légumes maison











Macaronis nappés d’un râpé de courgettes au curry









1 yaourt soja



Le grave, c’est quand votre femme vous dit « rentre ton ventre » et que c’est déjà fait !
Gayelord Hauser



Bienvenue à Céline




 Bonjour Céline!!

Voilà ton message de bienvenue!
Tu peux venir te présenter!

Lis bien tout sur la méthode :
- questions sur la méthode
- info repas

N'hésite pas à poser des questions
Nous sommes là pour ça

Bienvenue sur BDG
Gros bisous Céline
Gilda ♥♥♥


samedi 17 novembre 2012

Pas le moral…




Bof… ça ne va pas fort ce matin…
On a beau être dimanche…
Je ne la sens pas cette journée…

Vraiment très bof.
Un coup d’oeil au miroir ?
Ouais, bah j’aurais pas dû. C’est sûrement pas ma tronche de cake qui va me remonter le moral !










Un coup d’œil à la fenêtre.










C’est tout gris dehors. Gris et triste.
Au moins est-on au diapason.

Me voila vautrée dans mon canapé, morose, le thé de mon p’tit déj refroidissant gentiment dans ma tasse.












Je suis inerte, les yeux dans le vague.
Pffffffff…
Qu’est-ce qui m’arrive ?
Me voila toute malheureuse !
Pourquoi ?
Je me suis levée plus tard pourtant ?
Oui, mais je n’ai pas très bien dormi en fait et je sens poindre un début de migraine.












Manquait plus que ça.

Bon.
Il n’y a pas trente six solutions.
Soit je conserve l’énergie d’une serpillère toute la journée et je continue à pleurer sur mon sort, moi qui suis si, si malheureuse…












Soit je me prends par la main et je vais chercher où j’ai bien pu mettre cette énergie et ce peps qui me font défaut ce matin.

Je vais tenter la seconde approche, même si je pense qu’à la place d’une main tendue, j’aurais plutôt besoin d’un coup de pied quelque part ! Je n’ai vraiment envie de rien.












Je me traîne misérablement jusqu’à mon ordinateur et j’ouvre un jeu que j’aime bien faire de temps en temps, pas trop prise de tête. 









J’ai joué un bon quart d’heure, sans trop de conviction, mais au moins ai-je pensé à autre chose.

Ensuite j’ai pris une feuille de papier qui traînait là et j’ai jeté dessus tout ce qui me passait par la tête. 











Les vases communicants : en remplissant la feuille, je vidais ma tête.
J’ai rangé ce papier. Pour plus tard.

Je suis allée dans la salle de bain et j’ai pris une douche bien chaude et bien longue (oui, je sais… les économies d’eau. Mais là c’est un cas d’urgence !). 











J’ai fermé les yeux sous cette eau qui me réchauffait la peau et je suis allée à la rencontre du souvenir d’un moment heureux que j’avais vécu. Je n’ai pensé qu’à lui. C’était quand j’étais petite fille : j’étais avec mes parents et nous avons ……….
J’ai eu alors la sensation d’un frémissement, l’amorce d’un nœud qui commençait à se desserrer en moi.

Une fois séchée et habillée, je me suis regardée dans le miroir. Vraiment pas de quoi sauter au plafond… quelle allure !











Le visage complètement inexpressif… j’ai tenté un sourire : on aurait dit une grimace !
Et puis ces épaules voutées : j’ai pris dix ans d’un coup ce matin. Allez, redresse-toi ma vieille ou tu vas finir bossue !

Ce sentiment d’oppression est toujours là.
Je me suis fait violence pour ne pas retourner dans mon canapé qui était le seul à me comprendre aujourd’hui.
Je me suis obligée à mettre veste et baskets et je me suis mise dehors !











J’ai ouvert le portail et je suis partie au hasard en marchant d’un pas rapide, la tête dans les épaules. Je me suis vite essoufflée. Trop contractée. Un banc. Une pause. Un soupir. Puis deux. Et j’ai commencé à ouvrir ma cage thoracique et à mieux respirer.
J’ai repris ma marche, plus à l’aise.
J’ai croisé une dame. Elle m’a souri et m’a dit « Bonjour ! ». Je crois avoir fait de même. Je ne sais plus trop. Elle est gentille cette dame que je ne connais pas.
J’ai croisé un couple. J’ai tenté. Je leur ai souri et je leur ai dit « Bonjour ».
Un soupçon de surprise l’espace d’un instant dans leurs regards. Ils m’ont souri eux aussi et m’ont rendu mon salut.
Ça marche !
Ah tiens ! Ca fait du bien !
















J’ai pris le chemin du retour, déjà ragaillardie !
Arrivée à la maison, j’ai retrouvé mes deux chats qui m’attendaient. J’ai eu droit à de jolis ronrons pour saluer mon retour. Cela méritait bien de gros câlins !













J’ai choisi dans ma collection de CD une musique bien gaie et entraînante que j’ai mise bien fort et j’ai chanté à tue-tête !












J’ai faim !
Un smoothie. Voila juste ce qu’il me faut, tout de suite maintenant.

Et puis après, j’appellerai une copine.
On pourrait se faire un ciné cet après-midi ou aller boire un verre dans cet endroit si sympa ?
Et puis je n’ai pas terminé ce bouquin qu’elle m’a prêté.
Et puis si je préparais un gâteau pour ce soir ?
Et puis il faut que j’aille faire un coucou sur BDG !

Allez, c’est parti !
J’ai une de ces pêches moi aujourd’hui !


Menu à bas IG du dimanche 18 novembre 2012




P’tit déj PL
Un p'tit déj salé !
Jus de tomate
Œuf à la coque











Mouillette de pain d’orge avec fines lamelles de gruyère
Thé


Déjeuner PL
Rôti de porc en cocotte








Flan de brocolis aux accents du sud









Salade d’endives aux noix

Tarte au citron














Dîner GP
Thon grillé








Chips de patate douce













Compote de poire maison


Une personne optimiste ne refuse pas de voir le côté négatif des choses ; elle refuse de s'attarder dessus.
Alexander Lockhard