samedi 8 septembre 2012

Musique !


Dimanche dernier je vous incitais à pousser la chansonnette !
Restons dans le même registre grâce à la musique.
Celle qui adoucit les mœurs.
Disco, pop, reggae, jazz, classique… on passe de l’une à l’autre selon nos affinités du moment.
Et avec le temps, nos goûts évoluent.

La musique berce ou stimule, s’accroche à des souvenirs.
Certains airs vont systématiquement vous donner envie de reprendre le refrain, voire d’entamer quelques pas de danse.
D’autres tempos vous amèneront quelques années en arrière pour une séquence nostalgie.
Elle nous accompagne à chaque instant, dans tous les événements majeurs de notre vie, qu’ils soient tristes ou heureux.









En lisant quelques articles sur le sujet, j’ai appris que la musique agissait sur notre santé.
Elle régularise les battements cardiaques et sanguins, elle permet la production de plus d’endorphines, qui sont les « molécules du bonheur », elle nous stimule, influence notre état d’esprit.










On parle aussi de "l'effet Mozart".
Selon notre sensibilité, certains sons, rythmes, tonalités pourraient agir sur notre créativité, notre intelligence et agir aussi sur notre état de santé.
La médecine découvre ses bienfaits.
La diffusion de musique dans les salles d’opération se généralise, elle soulage les tensions des médecins, mais aussi celles des patients !

Saviez-vous qu’il existait des musicothérapeutes ?!!
Grâce à des stimuli sonores, ils interviennent sur notre émotionnel, pour une ouverture sur soi et sur les autres, facilitant le travail sur la douleur et le mal être.









La musique n’a apparemment pas de contre-indications, si ce n’est qu’il faut préserver nos oreilles d’un trop grand assaut de décibels !

Voila un plaisir à la portée de tous.
S’installer confortablement et prendre un instant pour écouter, bien tranquillement, la musique qu’on aime…
Du temps pour soi.

Compliment !



Vous rappelez-vous la dernière fois où vous avez adressé un compliment à quelqu’un ?
Disons à quelqu’un de proche.
Avouons-le : nous sommes souvent plus prompts à relever le truc qui cloche qu’à féliciter.
En fait on n’y pense pas vraiment, en se disant qu’il ou elle sait que nous savons.

Et pourtant…
Avez-vous constaté l’effet que cela peut produire ?
C’est une attention envers l’autre, la mise en valeur des aspects positifs de sa personnalité.
Cela a un côté rassurant.








Vous faites un cadeau à l’autre.
Un cadeau à vous aussi par la même occasion, car vous montrez là votre côté positif.

Le compliment doit être fait en toute simplicité, sans exagération, sincèrement.
Dites ce que vous pensez, avec un sourire.
Et cela fera un bien fou à la personne qui le recevra, même si elle protestera, surprise peut-être.
Faire des compliments à nos enfants est important également.
Nous les guidons, corrigeons leurs erreurs et nous sommes là pour les encourager.
Les complimenter à bon escient valorisera leurs actions.
Par la même, ils seront plus à même d’observer leur entourage et de déceler les qualités de chacun.









De votre côté, ne refusez pas les compliments.
Ils sont très certainement sincères.
Et quand bien même ils ne le seraient pas ? Ils dégageront néanmoins un côté suffisamment agréable pour vous apporter du bien-être.
Ne cherchez pas à savoir pourquoi on vous a complimenté, appréciez avec plaisir, c’est gratifiant.
Et cela fait du bien tout compte fait.







C’est tout ce qui importe !











Si vous manquez d’entraînement, vous pourriez très bien commencer par...
Vous-même !
Et oui, un excellent exercice !
Complimentez-vous dès que vous avez accompli une action qui vous satisfait :
- Ce dossier dont vous êtes enfin venu à bout
- La marche que vous avez été faire
- Ce petit plat particulièrement réussi
- Les 100 grammes disparus (si, si, c’est Ginette qui l’a dit !)
- Ce pantalon qui a dû se détendre au lavage car il flotte maintenant
- La liste des menus de la semaine prochaine qui est enfin prête
- Le sourire de votre enfant avec lequel vous avez pris le temps de jouer un moment
- La petite touche de maquillage que vous avez appliquée ce matin et qui vous donne si bonne mine (... Heu... messieurs, pour vous on en restera toujours aux poils dans les oreilles !)
...
Vous complèterez vous-même la liste, vous voyez que ce ne sont pas les occasions qui manqueront !

J’espère avoir réussi à accrocher un sourire sur votre visage ?!...
?...
Allez, souriez !!
! ...
Mieux que ça !!!
Savez-vous que vous êtes ravissante lorsque vous souriez ainsi ?!
Compliment tout à fait sincère.







Oui...je sais. Il y a quelques messieurs ici !
Mais bon… regardez bien, il reste un poil là… et vous aurez beau sourire !!
☺ ☺ ☺

Il pleut dans mon jardin



Hier j’ai rapporté du marché une cagette de fraises et de la rhubarbe.
Les fruits et le fructose sont en train de compoter doucement et, tout à l’heure, je remplirai quelques pots de cette succulente confiture.
Ça embaume dans la maison…

Mon ordiBDG et moi sommes installés dans la véranda.
Je regarde mon jardin.
Oh certes, ce n’est pas un jardin digne de figurer dans un magazine de titis parisiens.
C’est un petit jardin.
Mais c’est mon jardin.
Il a toute une histoire.
Ma grand-mère l’a créé.
Et je suis sa trace.
Je l’aime ce jardin.
Il renferme tant de souvenirs !
J’ai conservé beaucoup de ses plantes qu’elle choisissait souvent pour qu’ils attirent abeilles et papillons.
















Lorsque je regarde ce jardin qui est devenu le mien, il m’arrive bien souvent de la revoir ma grand-mère, penchée sur un rosier récalcitrant et lui promettant pis que pendre s’il ne se reprenait pas très vite !
Vous me croirez si vous voulez, mais elle savait trouver les mots pour ses plantes et bien souvent, celles-ci se dépêchaient de bien pousser pour être gratifiées d’un compliment !








 
Le rosier Ronsard a décidé de battre son record de l’année dernière. Nous avions compté 96 fleurs. Je renonce. Record battu !


Les fuchsias. Ils sont splendides.
Comme quoi le malheur des uns fait le bonheur des autres.
Toute cette pluie des derniers mois les a comblés !

D’ailleurs tiens ? J’entends une goutte tomber sur le dôme de la véranda… puis deux… puis plus…

Il commence à pleuvoir.
Cela fera du bien à mon jardin… et je n’aurai pas besoin d’arroser !

Dix gouttes, vingt gouttes…. L’ondée s’affirme.

Trente gouttes, quarante gouttes.
Les oiseaux se sont tus, blottis dans les feuillages touffus.
Le temps s’est comme arrêté dans mon jardin.
Pas le temps de faire autre chose.
La terre boit.
La terre se nourrit.
Chutt…








De temps à autre, une feuille de rosier ploie sous l’averse. 
Elle fait office de gouttière pour nourrir ses racines.











Les tournesols baissent la tête pour préserver leur trésor de graines qui bientôt, feront le régal de passereaux gourmands.

Cinquante gouttes, cent gouttes.
Je crois que c’est ce que j’aime par-dessus tout.
Entendre la pluie tomber.

J’apprécie aussi le soleil bien sûr.
Il nous fait souvent défaut alors qu’on nous soûle avec le réchauffement climatique !
Mais la pluie c’est la vie.
La pluie me rassure.
Je regarde mon jardin, ce kaléidoscope de verdure, toutes ces touches de couleurs.









 

L’averse vient de cesser.
Les feuillages s’égouttent.
Ploc… Ploc…
Le ciel est prometteur d’autres ondées.
Je dormirai la fenêtre ouverte cette nuit.
La pluie va me bercer.

Pour les nouveaux arrivants

Septembre est le mois où l’on met en place sa feuille de route.
Organisation devient le maître mot !











Et parmi les résolutions qui vont être prises, figureront, en haut de la liste, cette volonté de garder sa bonne mine acquise durant les vacances et celle aussi de faire disparaître quelques bourrelets dont on se serait bien passé en mettant son maillot de bain !

Septembre pourrait bien nous apporter quantité de nouvelles inscriptions sur le Blog de Gilda (BDG).
Alors je pense qu’il n’est pas inutile de faire un petit rappel pour tous ceux et celles qui nous lisent et qui sont tentés(es) de franchir le pas.

Surtout n’hésitez pas à venir nous rejoindre !
Nous prenons toujours beaucoup de plaisir à accueillir de nouvelles personnes sur BDG.
Quelle que soit sa quête, chacun pourra trouver ici appui et conseils appropriés.
Ici c’est à la carte ! 
Dans tous les sens du terme !!

Pour s’inscrire, c’est facile, même pour les cyberquiches !













Tout est inscrit là.
Quelques points importants :
- Choisissez-vous un pseudo court et original, qui n’appartiendra qu’à vous. Trop de personnes se contentent de mettre leur prénom et on finit par s’y perdre !
- Il faut impérativement que vous pensiez à partager votre profil dans le tableau de bord lors de votre inscription, pour que nous puissions vous voir.
- Enfin, agrémenter votre pseudo d’une jolie photo est plus agréable !

Une fois que vous êtes inscrit, manifestez-vous !










Pour cela venez nous faire un coucou sur un des posts récents.
Idéalement celui de la pause-café mais cela n’a pas trop d’importance car les co-auteures voient tous les messages, où qu’ils soient mis.
Ce coucou que vous nous ferez permettra d’officialiser votre arrivée !
Pour ce faire, nous vous ferons un joli message de bienvenue sur lequel vous pourrez vous présenter et nous raconter vos attentes et ce que vous voulez nous dire de vous.

A partir de là, vous serez entré dans la grande famille du BDG.
Libre à vous de participer à toutes nos conversations et nos thèmes.









Chaque jour, nous affichons un nouveau menu pour vous donner des idées. Nous allons bien souvent les piocher dans nos propres recettes qui se trouvent à gauche sur votre écran.
Nous vous invitons à venir inscrire vos propres menus, surtout dans les premiers temps, afin que vous puissiez partir sur de bonnes bases et que nous corrigions vos éventuelles erreurs.







Nous avons également une pause café réactualisée régulièrement et c’est l’endroit où l’on papote de tout ce dont on a envie.








Le samedi, c’est le grand jour ! Le seul et unique jour où on a le droit de sortir Ginette du fond du placard, là où elle doit se trouver tous les autres jours. Nous faisons alors ensemble le point des résultats de votre pesée pour vous aider à progresser.

Nous sommes là avant tout pour vous aider mais vu le nombre grandissant d’inscrits, nous ne pouvons pas passer notre temps à expliquer et réexpliquer la méthode à chacun.
Quantité d’informations importantes ont été collectées, pour que vous ayez le maximum d’éléments à votre disposition.
Alors lisez !











Pour prendre les choses dans l’ordre, commencez par lire « questions sur la méthode » et « info repas ».
Donc s’il vous plaît, avant de poser une question, vérifiez si la réponse ne figure pas déjà dans une des infos qui se trouvent à droite de votre écran !

A imprimer et à garder avec soi, le tableau des index glycémiques.
Surtout au début, faites en sorte de l’avoir toujours avec vous, principalement lorsque vous allez faire vos courses.

Et si vous venez de confectionner un petit plat de rêve, n’hésitez pas à le partager avec nous. Envoyez-le à l’une des co-auteures avec une photo et s’il nous plaît autant qu’à vous, nous le publierons.

Au fait les membres du BDG !











Vous étiez nombreux à prévoir de nous envoyer des photos de vos vacances afin que nous les partagions ensemble… pour l’instant nous n’avons pas reçu grand-chose !





J’ai pris la résolution d’arrêter de vieillir. J’ai même pas tenu une seconde, tu parles d’une volonté !
Jean-Marie Gourio




Le bocal à poissons rouges

Bonjour !
J’ai une histoire à vous raconter.
Vous la connaissez peut-être, dans ce cas j'espère que la relire sera un plaisir !
Si vous ne la connaissez pas, la voici.

Imaginons un cours de philo.
Pas de livre sur le bureau du professeur, non, juste un bocal, comme un petit aquarium pour poissons rouges. 
Mais vide celui-là.
Intrigués, les étudiants attendent en silence ce qui va se passer.







 
Sans rien dire, le professeur sort de son tiroir quelques pierres, de gros galets, qu’il place méthodiquement dans le bocal.








Ceci fait, il demande : « Ce bocal est-il rempli ? »
Réponse affirmative de la classe.

Le professeur saisit alors un sachet rempli de gravillons et il les verse dans le bocal en le secouant un peu, de manière à ce que les petits cailloux descendent jusqu’au fond, entre les pierres.











De nouveau, le professeur interroge : « Ce bocal est-il rempli ? »
Cette fois-ci, les étudiants ne voulant pas se faire avoir une seconde fois répondent que non !

Le professeur sort alors un autre sachet contenant du sable et le verse à son tour dans le bocal.
Le sable se fraie facilement un passage et comble les petits espaces encore vides.
Silence dans la classe.









« Que démontre cette expérience à votre avis ? » Interroge le professeur.
Un étudiant répond : « Et bien, les grosses pierres sont les choses que nous avons à faire et le gravier et le sable toutes les petites tâches que nous pouvons réussir à faire en plus. »

« Non mon jeune ami, ce n’est pas cela, répond le professeur.
Voyez-vous, les grosses pierres représentent les choses véritablement importantes de votre vie : votre famille, votre couple, vos enfants le jour où vous en aurez, votre santé, vos passions… toutes ces choses qui sont l’essence même de votre vie.
Les gravillons représentent les choses moins essentielles, même si elles sont importantes : le travail, la maison, la voiture…
Les grains de sable, disons que ce sont toutes les choses qui n’ont vraiment pas beaucoup d’importance.

Si j’avais commencé mon expérience en mettant le sable ou le gravillon en premier, jamais je n’aurais pu ajouter toutes les pierres.

Gardez en mémoire ce bocal.
C’est votre vie.
Ne la gaspillez pas avec les petites choses sans importance, utilisez plutôt votre énergie pour ce qui compte véritablement à vos yeux.
Ces choses importantes rempliront votre vie, même si vous perdez tout le reste.
Soyez à l’écoute de vos proches, sortez avec votre ami(e), prenez soin de vous… vous trouverez toujours du temps pour passer l’aspirateur ou traiter un dossier.
Ce ne sont qu’aux grosses pierres que vous devez vous attacher.
Gravillon et sable vous couleront entre les doigts.
Ne passez pas à côté des choses essentielles à votre bonheur. »

Silence dans la classe…
« Ah ! Une dernière petite chose, dit le professeur »
Il se saisit de la thermos de café sur son bureau et en vide le contenu dans le bocal.












Il regarde ses élèves interloqués :
« Parce qu’il restera toujours assez de place pour partager un café avec un ami. »