Maigrir avec la méthode Montignac phase 1. Ce blog existe depuis avril 2010. Il a aidé de nombreuses personnes à perdre du poids. Il est toujours ouvert même s'il n'est plus actif. FB l'a supplanté. Je suis toujours là et je réponds à vos questions où que vous les posiez. Bienvenue sur ce petit blog riche de tant d'infos sur la méthode.
Index alphabétique des recettes phase 1 .
lundi 10 septembre 2012
PAUSE CAFE 213
Notre pause café 212 se trouve bien bien loin!
Voici donc une nouvelle!
Je vous attends
C'est ici Miss que l'on pose les questions
Ici, c'est le petit coin cosy où on papote de tout et de rien!
Un petit café entre nanas!!!
C'est sympa ♥
dimanche 9 septembre 2012
Menu à bas IG du lundi 10 septembre 2012
Bonjour !
P’tit déj GP
Un jus de pomme
Une tranche de jambon dégraissé
Pain
Un carré frais 0%
Un thé
Déjeuner PL
Une salade de tomates et basilic
Papillote de poulet mariné
Haricots verts
Un morceau de camembert
Une pêche
Dîner GP
Quelques
radis pour patienter
Thon à la créole
Riz Basmati
Un yaourt au soja avec quelques morceaux de fraises fraîches
Qui mieux
que vous sait vos besoins ? Apprendre à se connaître est le premier des
soins.
Jean de La
Fontaine
Pulsions alimentaires
Vivre pour
manger ou manger pour vivre ?
Nombreuses
sont celles qui vivent des rapports très compliqués avec la nourriture.
Nous le
constatons chaque jour.
Une lutte
quotidienne. Et vous vous sentez si mal à ne pas parvenir à prendre le dessus.
Vous avez dressé
un rempart entre vous et vos émotions.
Vos
compulsions alimentaires représentent l’échappatoire que vous avez trouvé pour
fuir l’ennui, la solitude, un mal-être, une sensation de vide.
Mais cela ne
résout rien.
Vous le
savez bien.
Ne
culpabilisez pas.
Il n’y a que
vous qui puissiez décider de sortir de cette spirale dans laquelle vous vous
êtes enfermée. Enfermée et isolée.
Cela ne peut
venir que de vous.
Vous, ce
déclic qui un jour vous fera dire « ça suffit !! » et votre
volonté.
Vous pouvez
vous en sortir seule, à force de beaucoup de ténacité.
Sachez
cependant qu’il existe de nombreuses aides efficaces pour maîtriser vos
pulsions alimentaires.
La
sophrologie, l’homéopathie, la relaxation, la cohérence cardiaque, pour ne
citer que ces quelques exemples.
La psychanalyse peut aussi vous aider à extérioriser ce qui vous ronge, à l’analyser et enfin, à apprendre à vivre avec, sans que ce soit une souffrance perpétuelle.
Le premier
travail à effectuer sera d’être vous-même, de lâcher prise, de ne plus vous tenir sous contrôle,
de ne plus vous voir dans le regard des autres, de dire ce que vous ressentez,
ce que vous aimez, ce que vous n’aimez pas. Vous êtes une personne à part
entière, qui mérite toute votre considération et votre estime.
Aimez-vous.
Ce n’est
certes pas facile, certains jours beaucoup plus difficiles que d’autres.
Il faut
s’accorder du temps, de la patience, de la compassion aussi.
Il n’existe
malheureusement pas de trucs infaillibles, voici néanmoins quelques petites
idées qui pourraient vous servir :
- Occupez-vous,
car l’oisiveté est propice aux craquages : un loisir créatif, du lèche-vitrine, un verre avec des copines,
BDG (en voila une chouette occupation !), un bain bien parfumé, un masque
relaxant, la pose de vernis à ongle (en plus l’odeur et la nourriture c’est
très bof !), une marche, une séance de piscine, un club de danse, la salle
de sport de votre quartier… bref, toute occupation qui vous permettra d’évacuer
votre stress et de vous vider la tête tout en vous faisant plaisir !
- Lavez-vous
les dents avant de céder, on n’a pas forcément envie de manger après
- Prévoyez
toujours des encas BDG où que vous soyez, même dans votre voiture, de manière à
vous sentir rassurée de savoir que vous avez toujours quelque chose sous la
main, qui ne remettra pas en cause vos efforts.
- Ce que vous
allez manger lors de ces pulsions, efforcez-vous de le déguster, de ne pas vous
jeter dessus. Un morceau après l’autre, posément, en mastiquant doucement, en
respirant profondément et surtout, en ne faisant rien d’autre, pour bien
prendre conscience de ce que vous être en train de faire.
- Prévoyez vos
menus à l’avance, choisissez des choses qui vous font plaisir et que vous
apprécierez de déguster le repas venu.
- Ecrivez.
Lorsque vous sentez une pulsion poindre, écrivez sur un cahier ce que vous
ressentez, laissez votre stylo écrire pêle mêle tout ce qui vous passe par la
tête. Vous relirez cela à tête reposée. Recommencez à chaque fois. Beaucoup d’enseignements
inattendus peuvent s’y trouver.
Et en
matière d’écrits, BDG est aussi un moyen d’expression où vous trouverez chaque
jour une attention particulière et un partage, sans jugement.
Vous pouvez
compter sur notre appui.
Bienvenue à Miss 206
Bonsoir Miss !
Miss s'est inscrite il y a deux jours et a correspondu avec moi par e mail mais c'est un "sous marin" de longue date.
Notre blog la passionne et je crains qu'elle ne soit déjà addict!!!! LOL!
N'est ce pas Miss ?
Viens te présenter, nous serons ravies de te lire.
Encore bienvenue sur BDG
Gros bisous
Gilda ♥♥♥
Bienvenue Miss206 !
Et oui, sur BDG les liens se tissent
Et seuls les kilos en pâtissent !
La lecture de nos infos va être la prémisse
A ce que tu deviennes une bonne utilisatrice
Ne t’inquiète pas, nous serons toutes là en coulisse
Pour que ta motivation aboutisse !
DOG
Confitures
Je reviens de mon traditionnel marché du samedi et tous ces
fruits sur les étals m’ont donné envie de faire de la confiture.
Il a fallu BDG pour que je m’y mette.
N’étant pas du tout bec sucré, je n’aimais pas trop ça,
sentant plus le sucre que le fruit et maintenant que je m’y suis mise, je
découvre le plaisir d’une confiture à peine sucrée, à ma façon, tout en saveur
de fruits.
En fait, cela me semblait compliqué de faire des confitures.
Cela tenait à mes souvenirs d’enfance.
Faire de la confiture lorsque j’étais gamine, c’était une
affaire de quartier !
Plusieurs voisines se réunissaient toute une journée chez l’une
d’entre elles qui bénéficiait d’une cuisine aménagée à la cave, pour la
fraîcheur.
Cette pièce était en fait réservée à la confection des confitures et
des bocaux.
Ah, c’était tout une affaire ce jour-là !
Elles arrivaient toutes de bon matin, avec leurs paniers de
fruits mûrs à point, un fichu sur la tête et le tablier noué autour de la
taille.
Un p’tit café et c’était parti !
Quelle ambiance !
Ça papotait, ça riait, ça chantait !
Plusieurs réchauds pour recevoir les bassines en cuivre et
ça y allait à la manœuvre : épluchage, dénoyautage, découpage, un passage
dans l’étamine pour les fruits à grains… tous ces fruits affolaient les guêpes
qui bourdonnaient au-dessus de la mêlée !
Lorsque tout était dans les bassines, les tâches étaient
réparties : celles qui touillaient et écumaient, celles qui préparaient
les pots et les ébouillantaient, celles qui faisaient les casse-croûtes pour
nourrir tout ce petit monde.
Il n’y avait pas que les guêpes qui tournoyaient dans la
cuisine au plafond bas, les gamins que nous étions tentions des approches, par
l’odeur alléchés !
On se faisait renvoyer illico à nos balançoires, ce n’était
vraiment pas le quart d’heure !
Allez ouste !
Au début de l’après-midi, la tension montait d’un cran :
c’était le moment, c’était l’instant !
Ce moment magique où le fruit et le sucre mêlés se figeaient
pour se transformer en belles confitures.
Alors là, ce n’était pas le moment de se mettre dans les
jambes de l’équipe de choc !
Ça y allait à la manœuvre !
Les louches n’en finissaient pas de passer des bassines de
cuivre aux pots en verre !
Il n’y avait pas de temps à perdre !
Ensuite, chacune avait sa méthode, certaines la paraffine, le cellophane, d’autres
les pots fermés et retournés.
Mission accomplie.
Et c’est à ce moment seulement qu’on nous laissait entrer
et nous n’avions pas assez de nos dix petits doigts pour les passer goulûment dans
les bassines refroidies, nous nous fichions de la confiture sur la frimousse,
dans les cheveux, les oreilles…
Le soir venu, c’était bain pour tout le monde ! Pour les
mamans fourbues par cette journée non-stop et pour nous, tellement collants qu’on
aurait pu nous accrocher au néon de la cuisine pour attraper les mouches !
On ne dînait pas nous ces jours-là, plus de place !
Le lendemain, on allait admirer toutes ces étagères remplies
de pots de confiture de toutes les couleurs, promesses de tartines savoureuses
pour les semaines à venir…
Alors aujourd’hui, lorsque j’ouvre mon pot de confiture,
fait dans ma petite gamelle sur ma table de cuisson, toutes ces images, ces
parfums me reviennent en mémoire…
Et vous, avez-vous des souvenirs de confitures ?
Quelles sont celles que vous préférez ?
Celles que vous faites ?
Confiture abricots-lavande
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