mardi 15 janvier 2013

Bienvenue Viky Krai !




Bienvenue Viky !
On l’aime bien ta patrie !
De Belgique on a plein d’amis !
Barbara l’a bien dit :
Ici les régimes tu les oublies,
Car nous ça nous donne des allergies !
Et comme toi, on aime les gaufres aussi !
Alors pour te présenter c’est ici,
Tu peux nous raconter tout ce dont tu as envies

menus du mardi 15 janvier à bas IG



"Bon appétit"

P’tit déj GP

lait écrémé avec cacao 100% et fructose, 3 crêpes intégrales ici  avec confiture de pêches maison.

Déjeuner PL

Soufflé au fromage   avec salade verte

             

 yaourt au soja






 












Dîner GP

Crevettes au quinoa ici


Semoule complète à la vanille au lait de soja



lundi 14 janvier 2013

Menu à bas IG du dimanche 10 novembre 2013





ON CONTINUE PARDI !!!


P’tit déj GP
Jus de pamplemousse









Pancakes arrosés d’un filet de miel d’acacia









Un yaourt soja, chèvre ou brebis 0%
Café


Déjeuner PL
Salade de radis noir
Rougail saucisses aux lentilles (cuisiné avec tomates surgelées ou en boîte)








Salade
Un morceau de Chaource









Clémentines


Dîner GP
Velouté aux champignons







 

Filet de poisson en papillote : ici posé sur un lit d’épinards frais et un peu de poireau émincé préalablement fondu avec une goutte d’eau. Les épices de votre choix. Ou pas pour nos deux réfractaires!













Un flamby













Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l'être, mais aussi la sagesse de distinguer l'un de l'autre.

Marc Aurèle



dimanche 13 janvier 2013

Le pot'euf



Certaines odeurs font partie intégrantes de la période hivernale.
Celle du pot au feu est l’une d’entre elles et pas des moindres.








Elle me ramène à mon enfance et à ce moment sacré entre tous où maman préparait un pot au feu.
Cela se passait toujours un samedi.
Ce jour n’était pas choisi par hasard, car c’était celui où nous étions tous réunis à la maison.
Le démarrage du poteuf’ débutait invariablement en début d’après-midi.








Maman sortait une grosse marmite et y déposait toutes sortes de viandes de bœuf : gîte, plat de côte, paleron, queue, os à moelle… un choix qui mêlait astucieusement les viandes maigres avec les viandes plus gélatineuses.









Elle recouvrait largement d’eau froide car elle privilégiait le goût du bouillon et allumait le feu sous la marmite.









C’est là que mon frère et moi prenions place dans la cuisine, car c’était à nous que revenait la tâche délicate d’écumer la surface de l’eau, pour en extraire la mousse qui se formait.
Nous faisions cela avec beaucoup de sérieux, tout à fait conscients que la réussite du plat était entre nos mains !
Il y avait bien parfois en douce, quelques duels entre nos deux écumoires dans la marmite, mais maman veillait à calmer nos ardeurs !








Lorsque toute trace d’écume avait disparu, notre mère procédait à l’assaisonnement, le mijotage commençait alors doucement et un peu plus tard, elle ajoutait toutes sortes de légumes patiemment épluchés.
A l’époque, on ne connaissait pas encore le slogan « 5 fruits et légumes » je peux cependant affirmer que ce plat était en avance sur son temps : carottes, navets, céleri, topinambours, chou, poireaux… j’en oublie sûrement !
Et à partir de là, petit à petit, notre pot au feu, en développant son arôme, s’installait dans notre maison.
L’intensité de son parfum montait crescendo et l’on voyait alors mon père pointer le bout de son nez, cet organe infaillible qui tel un somnambule, le conduisait jusqu’à la cuisine.

Allez savoir pourquoi, il y avait toujours une cuillère à soupe, posée sur une petite soucoupe, juste à côté de la cuisinière où mijotait doucement le poteuf’.
Mon père s’en saisissait, soulevait le couvercle de la marmite, plongeait la cuillère, soufflait sur le liquide brûlant et l’avalait doucement en fermant les yeux.
Il venait très tôt procéder à la dégustation, sous prétexte de vérifier l’assaisonnement et je pense que les premières cuillérées ne devaient pas être très fameuses !
Mais peu importe, il goûtait à chaque fois de la même manière gourmande.
Papa tenait son rôle de goûteur à la perfection et n’oubliait jamais de venir toutes les demi-heures, afin de s’assurer de la bonne évolution de la cuisson !









Lorsque le bouillon commençait vraiment à avoir de la saveur, il nous donnait à nous aussi une cuillère à déguster.
Maman rouspétait qu’on allait lui gâter son poteuf’ à ouvrir le couvercle sans cesse.
Mais en fait, elle était heureuse de ces moments que nous partagions ainsi.
Sinon pourquoi cette cuillère se serait-elle trouvée là ?!!

Ce va et vient incessant se poursuivait jusqu’au moment de passer à table.
On y passait donc tout l’après-midi !
J’ai encore dans mes narines ce parfum du poteuf' cuit à point.
Nos papilles étaient toutes excitées et nos estomacs gargouillaient leur hâte de se remplir de cette nourriture délectable.
Ce moment arrivait enfin.
Nous passions à table !









Maman apportait un premier plat contenant toutes les viandes, puis trois autres plats suivaient avec toute la ribambelle de légumes soigneusement dressés.
Nous étions quatre mais il fallait mettre des rallonges pour poser tout ça !









Comme à chaque fois, papa réclamait un peu de bouillon et comme à chaque fois, maman refusait en lui disant qu’il en aurait le lendemain, lorsqu’elle l’aurait dégraissé… le bouillon bien sûr !!

Quel magnifique dîner c’était à chaque fois !
Les viandes étaient moelleuses à souhait, parfumées de cette abondance de légumes qui les avaient accompagnées ! Le couteau ne nous était que de peu d’utilité tant les chairs étaient fondantes. Les légumes cuits à point étaient gorgés du bouillon odorant.
Ce plat nous rassemblait autour de la table et nous ne faisions qu’un.
Nous étions juste heureux ensemble.
Il ne nous manquait rien.
Nous n’avions besoin de rien d’autre.
Nos sujets de conversation étaient légers et gais.
Tout en dégustant chaque bouchée, nous souriions déjà à la promesse du plaisir que notre poteuf’ nous apporterait durant les jours suivants.









D’abord le bouillon, mémoire de chaque ingrédient qui y a mijoté, puis tous les restes qui seraient utilisés pour la confection de boulettes, mironton, salade, hachis…. Nous n’avions pas fini de l’aimer notre poteuf’ !








C’est à mon tour maintenant de faire le pot au feu.
De la même manière que le faisait ma mère.
Exactement de la même manière.
Et comme autrefois, sa bonne odeur s’installe dans ma maison et avec elle, mes souvenirs de ce temps béni où nous étions réunis.

Une cuillère est posée près de la marmite, sur sa soucoupe.


Note
Vous aurez compris que ce pot au feu tel que je le décris avec tous ces légumes est phase 2.
Rien ne vous empêche cependant de le déguster en laissant de côté les légumes dont l’IG est trop élevé pour être consommé en PL.

Menu à bas IG du dimanche 13 janvier 2013





P’tit déj GP
Un jus d’ananas
Une crème Budwig







Un thé citron


Déjeuner PL
Gratin de porc aux aubergines
(en version hiver bien sûr !)












Salade d’endives
Et pour rester dans l’ambiance de l’Epiphanie :
Le gâteau à la frangipane de Cath T














Dîner GP
Spaghettis aux fruits de mer
Vite fait bien fait en faisant décongeler des fruits de mer. Une fois égouttés, les verser dans un coulis de tomate bien chaud, assaisonnement pour relever un peu (piment d’Espelette par exemple). On laisse cuire quelques instants et on nappe les pâtes al dente.











Une poire


 
Un repas, aussi frugal soit-il, est un instant de rencontre. Il peut être une occasion de joie et de communion, unissant profondément les gens.

Elise Boulding



samedi 12 janvier 2013

Bienvenue Cafrine06 !





Bienvenue Cafrine !
Ici nous ne connaissons pas la routine,
Lorsque quelqu’un a le moral en ruine
On trouve toujours une combine !
On rit, on pleure et on se taquine,
Sur BDG personne ne s’enquiquine !
A toi maintenant de faire la speakerine
Et de nous en mette une tartine !