dimanche 18 octobre 2020

Le potassium - encore un minéral essentiel pour notre corps

 Bonjour,

Je vous ai récemment parlé du manque de chrome dans notre alimentation, et Verogern et Brigitte nous ont toutes deux parlé du problème de santé qu'elles ont eu suite à un manque de potassium.

Voici ce que j'ai trouvé sur le sujet : il y a une vidéo à voir sous ce lien 

Hypokaliémie


Hypokaliémie, qu’est-ce que c’est ?

L’hypokaliémie est une baisse de la concentration de potassium dans le sang. Elle peut avoir des conséquences graves sur le fonctionnement cardiaque. Cette perte de potassium est traitée avec un apport en potassium par voie orale ou intraveineuse. 

Définition

L’hypokaliémie est définie par une concentration plasmatique de potassium  (ion) inférieure à 3,5 mmol. La kaliémie, concentration plasmatique de potassium, est normalement aux alentours de 4 mmol/L. Elle dépend des balances externe (ingestion de potassium, fourni en particulier par les fruits et légumes) et interne (élimination principalement rénale) de potassium. L’hypokaliémie discrète ou modérée (3,0-3,5 mmol/L) est généralement bien supportée par des personnes en bonne santé mais elle peut avoir des conséquences graves lorsqu’elle est sévère (inférieure à 2,5mol/L), d'installation rapide et qu’elle survient chez une personne âgée avec un terrain fragile. 

Causes

Trois mécanismes sont à l’origine d’une hypokaliémie :

  • Une diminution des apports en potassium (en cas d’anorexie ou d’alimentation riche en hydrates de carbone associée à une consommation chronique d’alcool par exemple)
  • Une augmentation de l’excrétion gastro-intestinale ou urinaire (diarrhée, vomissements, abus de laxatifs, emploi ou abus de diurétiques...). Les diurétiques sont la cause la plus fréquente d’hypokaliémie. 
  • Le transfert du potassium dans la cellule (situations de stress, prise d’insuline, alcalose métabolique, certains médicaments comme les b2 mimétiques, la théophylline, la caféine). 

Diagnostic 

Le diagnostic d’une hypokaliémie se fait avec un interrogatoire (prise de diurétiques ou de laxatifs ? Nausées ou vomissements ? Antécédents familiaux ?), un examen clinique,  le dosage de la kaliémie (concentration plasmatique de potassium). D’autres examens biologiques peuvent être effectués : bicarbonates plasmatique et urinaire, magnésémie, Ph, chlore et sodiums urinaires.  

Un électro-cardiogramme est effectué, pour évaluer la sévérité de l’hypokaliémie et voir ses effets cardiaques.

Les personnes concernées 

L’hypokaliémie est un trouble hydroélectrique extrêmement fréquent. Il est présent chez 20% des patients hospitalisés et chez 10-40% des patients sous traitement de diurétiques thiazidiques.

Les facteurs de risque 

La prise de diurétiques à long terme est un facteur de risque d’hypokaliémie -Ils sont la cause la plus fréquente d’hypokaliémie-, tout comme la prise excessive de laxatifs et certains médicaments :  B2-mimétiques, insuline, glucocorticoïdes...La prise de certaines plantes (réglisse, séné, bourdaine, boldo...) est aussi un facteur de risque d’hypokaliémie. 

Les symptômes de l’hypokaliémie

L’hypokaliémie est souvent asymptotique 

L’hypokaliémie est souvent découverte de manière fortuite au cours d’un bilan biologique. Elle est bien supportée en général chez les personnes en bonne santé. 

Les signes de l’hypokaliémie modérée à sévère 

Lorsque l’hypokaliémie est modérée à sévère, elle peut entraîner des signes non spécifiques : faiblesse musculaire, douleurs musculaires, fatigue. Chez les personnes ayant une pathologie cardiaque sous-jacente, une hypokaliémie discrète à modérée peut entraîner des arythmies cardiaques. 

Les symptômes de l’hypokaliémie très sévère 

Lorsque l’hypokaliémie est très sévère (inférieure à 2,0 mmol/L), il peut y avoir une atteinte musculaire avec rhabdomyolise (destruction massive et aiguë du tissu musculaire),  tétraparésie (paralysie légère des 4 membres), atteinte des fibres musculaires lisses avec iléus paralytique (occlusion intestinale due à une paralysie de l' intestin grêle), rétention urinaire et finalement arrêt respiratoire.

Traitements de l’hypokaliémie

Le traitement de l'hypokaliémie consiste en la prise en charge de la cause de l’hypokaliémie et en une supplémentation en chlorure de potassium par voie orale en cas d’hypokaliémie modérée ou par voie intraveineuse dans les cas d’hypokaliémie sévère. 

Lorsque l’hypokaliémie est modérée et ne donne pas de symptôme, chez des personnes n’ayant pas d’antécédent cardiaque, une alimentation riche en potassium suffit en général (fruits secs, banane, cacao, viandes et poissons, pamplemousse...). Si l’hypokaliémie persiste, une supplémentation médicamenteuse est alors nécessaire. 

Prévenir l’hypokaliémie

En prévention de l’hypokaliémie, le taux de potassium peut être surveillé chez les personnes à risque prenant des diurétiques : ce sont celles qui ont une pathologie cardiaque, les asthmatiques sous B2-agonistes, celles prenant de la Digoxine, un médicament pour le cœur. 

comment éviter le manque de potassium ?

Description du potassium

Le potassium est un minéral essentiel qui assure plusieurs fonctions vitales dans l'organisme. Comme le sodium et le chlore, c'est un électrolyte.

Voici ses principales fonctions dans l’organisme.

Potassium : comment éviter le manque de potassium ? : tout comprendre en 2 min

Voir la vidéo sous ce lien

 

·      Il agit en étroite collaboration avec le sodium pour maintenir l'équilibre acido-basique du corps et celui des fluides. Il contrôle le taux de fluides et le pH à l'intérieur des cellules, tandis que le sodium fait la même chose à l'extérieur des cellules.

·      Il est essentiel à la transmission des impulsions nerveuses.

·      Il est essentiel à la contraction musculaire, y compris celle du muscle cardiaque.

·      Il participe au bon fonctionnement des reins et des glandes surrénales.

·      Il contribue à de nombreuses réactions enzymatiques, à la synthèse des protéines et au métabolisme des glucides, entre autres.

Les bienfaits du potassium




Besoins en potassium

De manière générale, une alimentation riche en fruits et légumes fournit des quantités adéquates de potassium et permet d’atteindre les apports quotidiens mentionnés ci-dessous. Cependant, l’apport moyen en potassium des Canadiens et des Américains est insuffisant. Tandis qu’il devrait être de 4 700 mg par jour, il est estimé à seulement 2 300 mg chez les femmes et 3 100 mg chez les hommes1.

En 2004, les autorités de santé des deux pays ont nettement augmenté les apports recommandés en potassium (voir tableau ci-dessous). Ces apports sont basés sur les quantités jugées nécessaires pour abaisser la tension artérielle, compenser les effets néfastes de l’excès de sodium sur cette dernière, réduire le risque de calculs rénaux et, possiblement, réduire la perte osseuse2.

Apport suffisant en potassium*

de 0 à 6 mois

400 mg

de 7 à 12 mois

700 mg

de 1 à 3 ans

3 000 mg

de 4 à 8 ans

3 800 mg

de 9 à 13 ans

4 500 mg

14 ans et plus

4 700 mg

Femmes enceintes

4 700 mg

Femmes qui allaitent

5 100 mg

Source : Food and Nutrition Board, Institute of Medicine. Potassium. Dietary Reference Intakes for Water, Potassium, Sodium, Chloride, and Sulfate. National Academies Press, États-Unis, 2004. Ces données sont le résultat d'un consensus entre les autorités canadiennes et américaines.
*Apport suffisant : en l'absence de données scientifiques adéquates, les autorités ont fixé, non pas un apport nutritionnel recommandé (ANR), mais un apport suffisant (AS). L'apport suffisant en potassium repose sur les apports moyens chez Nord-Américains en bonne santé.

 Les aliments riches en potassium

Tous les aliments renferment du potassium, notamment les fruits et les légumes. Le tableau ci-dessous fournit une liste non exhaustive de ceux qui en sont les plus riches. D’autres sources alimentaires de ce minéral sont mentionnées dans notre section Palmarès des nutriments Potassium.

Aliments

Portions

Potassium

Haricots blancs cuits

250 ml (1 tasse)

1 061 mg

Pomme de terre avec la pelure, cuite au four

1 moyenne (175 g)

926-952 mg

Palourdes en conserve

100 g (3 ½ oz) (13 moyennes)

628 mg

Pomme de terre sans la pelure, cuite au four

1 moyenne (155 g)

610 mg

Tomates en purée, en conserve

125 ml (1/2 tasse)

580 mg

Filet de flétan, cuit au four ou grillé

100 g (3 ½ oz)

576 mg

Courges d’hiver (musquée, poivrée, hubbard), cuites

125 ml (1/2 tasse)

308-478 mg

Épinards bouillis

125 ml (1/2 tasse)

443 mg

Yogourt nature, 0 % à 4 % MG

175 ml (3/4 tasse)

386-431 mg

Banane

1 moyenne (120 g)

422 mg

Symptômes du manque de potassium

La carence en potassium se manifeste par de la fatigue, de la faiblesse et des crampes musculaires, de la paresse intestinale, des ballonnements, des douleurs abdominales et de la constipation.

Si un apport insuffisant en potassium est fréquent, elle peut entraîner une réelle carence (hypokaliémie). Une hypokaliémie grave peut entraîner une paralysie musculaire et de l’arythmie cardiaque. Généralement, un apport alimentaire adéquat en potassium suffit à combler le déficit, mais les cas graves nécessitent l’intervention d’un médecin.

Cependant, comme mentionné plus haut, le potassium et le sodium travaillent en tandem dans l’organisme. Or, l’alimentation moderne, particulièrement riche en sodium, fait augmenter les besoins en potassium. On a constaté que dans certaines cultures primitives, on consomme de 7 à 10 fois plus de potassium que de sodium, tandis que dans les sociétés industrialisées, on absorbe de 2 à 3 fois plus de sodium que de potassium. L’organisme aurait donc, de nos jours, besoin d’un apport plus important en potassium afin de maintenir son pH à un taux acceptable.

Recherches

Hypokaliémie. L’hypokaliémie est une carence importante en vitamine K ayant plusieurs causes : faible apport en vitamine K, excrétion importante de vitamine K,  emploi de certains médicaments (diurétiques, usage excessif de laxatifs), vomissements abondants, diarrhée prolongée, troubles de l’alimentation (anorexie/boulimie) ou alcoolisme. Les doses recommandées pour la prévention et le traitement de l’hypokaliémie sont respectivement de 10-40mEq et 40-100mEq chez l’adulte (sous forme de chlorure de potassium par voie intraveineuse). Ces doses sont respectivement de 1-2mEq/kg/jour et 2-5mEq/kg/jour par voie orale chez l’enfant (moins de 18 ans).

Hypertension. Des études épidémiologiques ont rapporté une association entre une régime pauvre en potassium et une augmentation de la pression sanguine, suggérant qu’une supplémentation en potassium pourrait abaisser la pression sanguine et traiter efficacement l’hypertention19.  D’autre part, d’autres études ont permis d’établir un lien entre un régime alimentaire riche en potassium et un risque réduit d’hypertension1,3,15.  Cependant, une méta-analyse n’a pas montré d’efficacité d’un apport en potassium. D’autres recherches sont nécessaires pour confirmer les effets protecteurs du potassium sur l’hypertension20-23.

Maladies cardiovasculaires.  Une étude portant sur 2275 individus a montré qu’apport accru en potassium à une réduction de la consommation de sodium réduisait le risque de maladies cardiovasculaires 10. Voilà pourquoi Santé Canada autorise, pour les aliments contenant au moins 350 mg de potassium par portion et faibles en sodium, l’allégation santé suivante : « Une alimentation saine comprenant des aliments à teneur élevée en potassium et pauvres en sodium peut réduire le risque d'hypertension, facteur de risque d'accident vasculaire cérébral et de maladie du coeur. »11. La Food and Drug Administration américaine permet une allégation similaire12. De plus, une autre équipe de chercheurs suggère que les effets protecteurs des fruits et légumes sur le système vasculaire sont attribuables à leur haute teneur en potassium24. Cette haute teneur en potassium serait également responsable d’une réduction des risques de maladies cardiovasculaires, selon une méta-analyse portant sur 11 études et incluant près de 350 000 participants25.

Accident vasculaires cérébraux. Il existe une association entre de faibles niveaux sanguins de potassium et un risque accru d’accidents vasculaires cérébraux (AVC), en particulier chez les patients traités avec des diurétiques et souffrant de fibrillation auriculaire26. D’autre part, ce risque d’AVC semble réduit chez les personnes ayant des niveaux sanguins élevés de potassium27.

Hypercalciurie (niveaux élevés de calcium dans l’urine). Le citrate de potassium présente une certaine efficacité, lorsqu’il est combiné au magnésium, dans la formation de calculs rénaux récidivants28. Une étude a rapporté en outre que le phosphate de potassium diminue les niveaux de calcium sanguins chez ceux souffrant d’hypercalciurie, un facteur qui favorise les calculs urinaires29 Ces résultats sont à confirmer. 

Densité osseuse et ostéoporose. Des chercheurs ont observé un lien entre un apport alimentaire élevé en potassium et une meilleure densité osseuse, chez des femmes13 mais aussi chez les enfants en bonne santé30. Une étude clinique a montré également qu’un apport élevé en potassium pouvait réduire le risque d’ostéoporose31. Les chercheurs pensent, entre autres hypothèses, qu’un régime alimentaire riche en potassium est bénéfique pour la santé osseuse grâce à son effet alcalinisant. En effet, lorsqu’on mange trop de denrées comme la viande, le fromage et le poisson, le corps s’acidifie. Si l’organisme manque de potassium pour neutraliser cette acidité, il fait appel au calcium. Mais comme le corps puise ce calcium dans les os, cela les fragilise14.

Douleur dentaire. Les méta-analyses ayant étudiés les effets réducteurs de sels de potassium sur la douleur dentaire ont rapporté des résultats mitigés32,33. Aucune conclusion ne peut être tirée de ces résultats.

Précautions

Attention

·         Une supplémentation en potassium doit se faire sous la surveillance d'un professionnel de la santé. En effet, il y a plusieurs contre-indications et effets indésirables associés à ces suppléments. De plus, de nombreuses interactions sont possibles, car plusieurs médicaments peuvent causer un excès (hyperkaliémie) ou une carence (hypokaliémie) en potassium.

 

·         Au Canada et aux États-Unis, pour éviter les dangers d’un surdosage, les suppléments de potassium et de multivitamines contiennent généralement une faible quantité de potassium considérée sans risque, soit moins de 100 mg. 



dimanche 11 octobre 2020

Prendre du chrome pour maigrir ?

 

Le Chrome pour maigrir


Cet article est tiré de ce site 

  1. Quel rôle joue le Chrome ?

    1.1    Le chrome aide à réguler la glycémie

    1.2.     Le Chrome aide à réguler le mauvais cholestérol

    1.3      Le chrome diminue les envies de sucre

    1.4   Le Chrome améliore la composition corporelle

    1.5   Le Chrome diminue la résistance à l’insuline

2. Alors, le Chrome pour maigrir est-il utile ?

3. Combien de Chrome par jour ?

4. Où trouver le Chrome ?

5. Faut-il prendre des compléments aliments à base de Chrome ?

Le Chrome est un oligo-élément qui fait beaucoup parler de lui ces dernières années.
Après que certaines études ont constaté que le chrome pouvait aider à perdre du poids, cet élément est entré dans la composition de nombreuses pilules minceur.

Mais le chrome pour maigrir, est-ce réellement efficace ?
D’ailleurs, à quoi sert réellement le chrome, et quel rôle joue-t-il dans notre organisme ?

 1. Quel rôle joue le Chrome ?

Le Chrome agit à plusieurs niveaux dans notre organisme.

1.1 Le chrome aide à réguler la glycémie

Lorsque vous mangez des aliments à base de glucides, ces aliments passent dans le sang et font augmenter la glycémie, c’est à dire le taux de sucre dans le sang.

Si votre taux de glycémie augmente trop rapidement, le corps devra délivrer une quantité importante d’insuline pour abaisser le taux de sucre dans le sang (la glycémie) afin qu’il revienne à un taux normal.
Le sucre en excès sera la plupart du temps stocké sous forme de glycogène, ou sous forme de graisse lorsque les réserves de glycogène sont pleines.



Les études ont montré qu’un apport de seulement 400 microgramme de chrome avec un repas riche en glucides permettait de diminuer de 23% le pic de glycémie sanguin.

La consommation d’aliments riches en Chrome avec un repas riche en glucides peut donc être un moyen efficace d’empêcher (ou en tout cas de limiter) le stockage du glucose sous forme de graisse.

1.2 Le Chrome aide à réguler le mauvais cholestérol

D’après certaines études scientifiques, un apport suffisant en Chrome permet également d’abaisser le taux de triglycérides sanguins.

Le Chrome permet d’abaisser jusque 32% le taux de triglycérides dans le sang, et le taux de cholestérol global en diminuant le LDL (mauvais cholestérol).
Ces effets positifs ont été noté aussi bien chez les personnes en bonne santé, que chez ceux souffrant de diabète et intolérance au glucose.

1.3 Le chrome diminue les envies de sucre

Si vous n’arrivez pas à vous contrôler et que vous vous jetez régulièrement sur tous types d’aliments riches en sucre, le Chrome peut certainement vous aider.

Une étude a démontré que la prise de 600mg de Chrome pendant 8 semaines a permis de réduire significative les envies de produits riches en sucre.
Cela est dû au fait que le Chrome régule le taux de glycémie.

En effet, les fortes envies de sucres sont généralement déclenchées lorsque votre taux de sucre dans le sang est trop faible.
Vous êtes en situation d’hypoglycémie et c’est le moment où vous êtes le plus susceptible de craquer sur un énorme pain au chocolat !

Le fait de garder un taux de glycémie stable limite les fringales et les envies de sucre.

1.4 Le Chrome améliore la composition corporelle

Tout comme le CLA, il semble que le Chrome permette d’améliorer la composition corporelle en diminuant le taux de masse grasse et augmentant le taux de masse maigre.

1.5 Le Chrome diminue la résistance à l’insuline

Si vous consommez trop régulièrement des produits sucrés à fort index glycémique, votre corps subit trop souvent des fortes doses d’insuline.
Au bout d’un certain moment, le corps peut développer ce que l’on appelle la résistance à l’insuline., c’est à dire que l’insuline n’est plus efficace pour réguler le taux de sucre dans le sang et celui-ci va rester anormalement élevé.

Ce schéma vous permettra de comprendre plus facilement :


C’est l’un des principaux syndromes métaboliques qui conduit à l’obésité et aux problèmes cardio-vasculaires.
Un apport en Chrome suffisant permet de combattre cette résistance à l’insuline.

2. Alors, le Chrome pour maigrir est-il utile ?

Que les choses soient claires, si vous ne modifiez pas vos habitudes alimentaires et que vous continuez à consommer des aliments trop riches en sucres et en graisses saturées, le chrome ne pourra rien pour vous…

Néanmoins, si vous souhaitez commencer un régime alimentaire sain et varié avec une activité sportive régulière, le Chrome pourra vous aider à atteindre vos objectifs plus rapidement grâce à tous ses bienfaits sur notre santé, et notamment sur la régulation de la glycémie.

3. Combien de Chrome par jour ?

Les services sanitaires Français recommandent la prise de :

  • 55µg de Chrome par jour pour les femmes adultes de moins de 55 ans
  • 65µg de Chrome par jour pour les femmes adultes de plus de 55 ans
  • 65µg de Chrome par jour pour les femmes adultes de moins de 65 ans
  • 70µg de Chrome par jour pour les femmes adultes de plus de 65 ans

4. Où trouver le Chrome ?


Le Chrome se retrouve en très faible quantité dans quasiment tous les aliments.
Malheureusement, sa quantité est souvent trop faible pour apporter les besoins journaliers conseillés.

Voici une liste des aliments riches en Chrome que vous pouvez consommer (la quantité de Chrome est indiqué pour 100g) :

  • L’ail séché : 60µg
  • Brocoli : 18,3µg
  • Viande de boeuf : 2,4µg
  • Poitrine de Dinde : 2,4µg
  • Pommes de terre : 2µg
  • Haricots verts : 1,4µg
  • Banane : 1µg
  • Pomme : 0,7µg

5. Faut-il prendre des compléments aliments à base de Chrome ?

Comme vous pouvez le voir, il est difficile d’apporter via l’alimentation moderne la dose de Chrome conseillé.
Une supplémentation en Chrome peut donc être utile, surtout pendant une période de perte de poids.

Attention toutefois, il existe plusieurs types de Chrome et tous ne sont pas assimilés de la même façon.
La picolinate de chrome est en effet conseillé car elle possède une biodisponibilité plus importante que les autres formes : chlorure de Chrome, l’acétate de Chrome ou l’oxyde de Chrome.

En résumé :

  • L’effet du Chrome pour maigrir : aide à réguler la glycémie et diminue le taux de triglycérides
  • Mon avis sur le Chrome pour maigrir : intéressant, en complément d’un régime hypocalorique
  • Quel Chrome pour maigrir : via l’alimentation classique ou avec la picolinate de chrome en complément
  • Dosage du Chrome pour maigrir : respectez la posologie des différents compléments
  • Comment prendre le Chrome pour maigrir : prendre de préférence pendant les repas
Le Chrome pour maigrir joue donc un rôle important de notre organisme en régulant le taux de glycémie, limitant les envies de sucre et diminuant le taux de triglycérides sanguins.
Comme je vous l’ai dit précédemment, il ne s’agit pas d’un oligo-élément miracle et vous devez absolument mettre en place un plan alimentaire et un plan d’entrainement adapté à votre profil et vos objectifs.

Voici celui que j’ai trouvé en pharmacie 

dimanche 4 octobre 2020

Mes vacances en Bretagne !



 Bonjour ! 

Cela fait longtemps que je ne suis pas venue et je m'en excuse !

Des problèmes familiaux un peu compliqués et ensuite des vacances dont j'avais bien besoin pour me reposer ...en Bretagne !

Pourquoi je vous en parle ? Vous allez comprendre 😉

Je vous dis souvent que, lorsque vous êtes en vacances, il faut savoir lâcher prise. 



Moins vous penserez à votre poids, plus vous vous détendrez et moins vous aurez de risque de prendre du poids !

Je vous le dis mais je n'en avais jamais fait l'expérience ! et là ? je l'ai faite !

Deux semaines de vacances sans prendre un gramme !! j'y croyais pas moi même! alors j'ai analysé un peu le pourquoi du comment ! 

Si j'ai fait des écarts ? oui bien sûr ! mais finalement, en y réfléchissant, j'ai mangé beaucoup de poissons et de crustacés ! j'ai eu la chance de tomber sur un super boulanger artisanal où j'achetais mon pain intégral de petit épeautre bio et au levain!! une manne! 


J'ai bu du cidre voire même des galettes complètes au sarrasin 


Je me suis fait une cure d'huîtres...




et de tourteaux...



Je me suis régalée de sardines


de bigorneaux, de crevettes ...


mais j'ai aussi beaucoup marché, visité..je me suis détendue à donf !


Comme on dit ! no stress !!! 

Bien sûr, si vous regardez bien, dans l'ensemble, aliments sans IG comme les poissons et crustacés mais j'ai souvent mangé le bon pain avec un peu de beurre salé. 

Je pense que le fait d'avoir bien crapahuté a aidé ! c'est indéniable ! 

Il n'empêche que j'étais contente de n'avoir pas pris  un gramme durant ces deux merveilleuses semaines de vacances. 

Je vous en parle pour que vous sachiez que c'est possible! 

Bien entendu je ne me suis pas gavée de saloperies même si j'ai goûté une fois au Kouing Amann mais ça ? c'est au dessus de mes forces! au bout de 3 bouchées, vous êtes remplis!! LOL! trèèèèèèèèès lourd comme gâteau ! 😕😂

Conclusion ? partez en vacances et oubliez votre poids ! détendez vous ! mangez sainement mais ce ne sont pas quelques écarts qui vont vous faire du mal ! vous avez déjà de bons réflexes et vous allez faire une phase 2 sans même vous en rendre compte !
Plus vous penserez à votre poids, plus vous vous focalisez sur ce qu'il y a dans votre assiette et plus vous prendrez du poids !! croyez en mon expérience !! 😉😊

Je vous souhaite un bon dimanche à tous ! 
Bisous bisous 😍