Bonjour tout le monde !!!
Je suis tombée l'autre jour dans une revue de cuisine sur une recette qui me tentait bien !
Je me suis donc lancée dans l'aventure !
Et voici le résultat :
http://recettespourunepersonne.blogspot.com/2020/02/rouleaux-de-lasagnes-ig-35-phase-1-de.html
Alors bien sûr, vous ne retrouverez jamais le goût des vraies lasagnes !
Mais bon! c'était sympa quand même ! 👍😃
Bon appétit et bonne journée !
Gros bisous 😍
Maigrir avec la méthode Montignac phase 1. Ce blog existe depuis avril 2010. Il a aidé de nombreuses personnes à perdre du poids. Il est toujours ouvert même s'il n'est plus actif. FB l'a supplanté. Je suis toujours là et je réponds à vos questions où que vous les posiez. Bienvenue sur ce petit blog riche de tant d'infos sur la méthode.
Index alphabétique des recettes phase 1 .
jeudi 20 février 2020
mercredi 19 février 2020
Cordon bleu recette PL Phase1 de la méthode Montignac
Voici ma recette de cordon bleu maison
Ingrédients pour 2 personnes :
2 escalopes fines de dinde
2 tranches de bacon
4 petites tranches d'emmental
2 à 3 wasas fibres écrasées
1 oeuf
1 cure dent minimum
huile d'olive
Sur mon escalope, je pose mon fromage
sur la moitié inférieure de la tranche,
puis la tranche de bacon et
la 2ème tranche de fromage.
J'enferme le tout avec le haut de mon escalope
puis je mets au moins un cure dent
pour maintenir fermé le cordon bleu.
Je trempe mon cordon dans mon oeuf battu
puis je le mets dans mes wasas écrasées
Je fais chauffer ma poêle avec 2 càs d'huile d'olive
et fais cuire à feu doux.
Je les ai servi avec des brocolis
et pommes de terre vapeur pour Monsieur
Bon appétit
mardi 18 février 2020
Fabrication du pain au levain / méthode ultra simplifiée
Je vous ai déjà pas mal cassé les pieds avec la fabrication du pain au levain et c'est vrai que c'est quelque chose qui me passionne. Je vous donne aujourd'hui un résumé avec les principales étapes, sur demande de Gilda, car c'est vrai, la méthode complète est assez compliquée. Et pour faire juste un pain, on ne peut pas prendre autant de temps qu'un boulanger qui prépare parfois 50 kg de pain par pétrissage.
Voici donc un tutoriel plus résumé :
1.
Sortir votre levain-chef du frigo (vers 16 h)
2.
Rafraîchir votre levain 2h plus tard (vers 18 h)
3.
Rafraîchir à nouveau votre levain 4-5 h plus
tard (vers 22 h)
4.
Laisser fermenter jusqu'au matin
5. Mettre le soir à température ambiante votre farine pour le lendemain
Pour un pain au poids final d'un kilo, il vous
faut 1,2 kg de pâte environ.
Prévoir donc :
180 g de levain (15% du poids total de la
pâte) rafraîchi le soir avant. On peut aussi en mettre moins, 120 g par exemple s'il est bien réactif. Dans ce cas, il faut augmenter un peu les quantités de farine (605 g) et eau (450-475 g) pour arriver à 1,2 kg de pâte)
570 g de farine intégrale de votre choix à température
ambiante (vous pouvez en mélanger plusieurs)
430 à 450 g d'eau tiède (28-30 degrés) (75-80
% du poids de la farine)
15,6 g de sel (13 g pour 1 kg de pâte)
Eventuellement des graines, des noix, des fruits secs, etc (entre 8 et 15 % du poids de la pâte selon les sortes)
Mettre dans votre pétrin ou votre MAP tous
les ingrédients (garder environ 1 dl d'eau en réserve).
Bien pétrir la pâte en ajoutant l'eau en
réserve au fur et à mesure et si nécessaire. Il faut travailler assez longtemps
la pâte (20-30 minutes) et incorporer un maximum d'eau. Plus on travaille la pâte, plus elle devient élastique et mieux l'eau s'incorpore. Les farines intégrales
boivent plus d'eau que les farines claires. En fin de pétrissage, ajouter éventuellement les graines.
Sortir votre pâte sur un plan fariné et
faire 4 rabats. On peut éventuellement, si on a du temps, refaire ces 4 rabats 3 ou 4 fois toutes les 30 minutes car ça dynamise la pâte. Ce n'est pas obligatoire, mais c'est mieux. J'ai remarqué que le pain lève mieux ensuite.
Mettre ensuite dans un saladier couvert d'un linge humide et
laisser lever 5 – 12 heures.
La pâte aura bien augmenté de volume.
Ressortir la pâte de son saladier et la poser à nouveau sur une surface
farinée. Là, il faut maintenant façonner votre pain, sans l'écraser pour
ne par faire sortir l'air déjà emprisonné dans la pâte.
Il faut d'abord faire une boule : faire tourner
la pâte dans la farine en la repliant comme sur la vidéo.
Puis, si vous
vous voulez une forme allongée, rabattre les deux côtés vers le milieu, replier le haut vers le bas et coller en-bas avec la main puis ramener l'arrière vers l'avant et rouler la pâte.
Voir également vidéo
Déposer ensuite votre pâton dans une
corbeille dans laquelle vous aurez déposé un linge fariné, fariner le dessus de
la pâte, recouvrir du linge et l'humidifier. Laisser reposer durant 2 à 4 heures en contrôlant l'état de la pâte régulièrement. Lorsque, en appuyant sur le
dessus de la pâte avec votre doigt, la pâte se remet immédiatement en place,
elle est prête à cuire. Si la marque du doigt reste, on peut encore attendre un
peu. Ne laissez pas trop longtemps la pâte lever avant de la cuire, car sinon elle va s'affaisser et ne plus monter à la cuisson (surfermentation).
Ne pas oublier de préchauffer à l'avance votre four le
plus chaud possible (entre 230 et 280 degrés)
Lorsque la pâte est prête, retourner votre
pain sur une planche à enfourner bien farinée, grigner avec une lame de rasoir,
fariner un peu votre pain. Faire un coup
de buée dans votre four avant d'enfourner votre pain. C'est important pour la
croûte. Ou déposer dans votre four déjà pendant la chauffe un récipient contenant de l'eau, qui va créer une humidité dans le four pour l'enfournement.
Si votre four monte à 280, baisser la
température à 210-220 environ 10 minutes après l'enfournement pour continuer la
cuisson encore 35-40 minutes. Vous pouvez aussi, si votre four le permet, cuire les 10 dernières minutes en mode chaleur tournante ou air chaud, pour parfaire la croûte.
Lorsque votre pain est cuit, en tapotant
dessous le pain, il fait un son creux "cloc-cloc"
Déposer sur une grille pour refroidir et attendre qu'il soit froid pour le goûter. Ca c'est le plus difficile.
Et là, si vous avez bien suivi toutes les étapes, c'est l'extase. Votre pain doit être beau, bon et bien alvéolé.
Maintenant, vous pouvez aussi faire un horaire différent. C'est selon vos disponibilités. Par exemple, vous pouvez sortir votre levain le soir avant de vous coucher, vous le rafraichissez une première fois le matin, puis à nouveau à midi. Ensuite, vous pétrissez en soirée et vous laissez lever toute la nuit à température ambiante.
Le matin, vous faite le façonnage, vous laissez lever encore quelques heures et vous cuisez vers midi.
Ca fonctionne aussi très bien. A vous d'adapter les horaires selon vos temps de présence à la maison.
Mais là, il ne faut vraiment pas être pressés de manger le pain. Moi je préfère, si je suis à la maison, pétrir le matin et faire l'horaire dans une seule journée. L'autre, je le fais seulement si je travaille.
Gâteau du randonneur
Bonjour, pour aujourd'hui, j'ai repris une recette d'Yvonne qui m'a l'air très appétissante
Gâteau du randonneur
![]() |
Photo de "associations Manger Bio |
Voici le gâteau du randonneur à IG bas ,
pour profiter de l'hiver et du ski, des raquettes, . . .
qui se pratiquent par un grand froid,
demandant l'énergie pour lutter contre le froid
et avoir l'énergie afin de pratiquer ces sports . . .
Ce gâteaux
plein de fruits secs et de fruits oléagineux
est super, super moelleux, avec un parfum extra ,
un grand plaisir pour se faire du bien
par un temps froid et gris . . . même sans ski ! ! !
Recette trouvée sur le site québécois
"associations manger bio ".
Voici la recette originale, ici
Je l'ai fait très facilement,
le plus dur c'est . . . le choix des fruits secs
et des fruits oléagineux ! ! !
![]() |
Photo Yvonne D |
Ingrédients:
Fruits séchés et noix:
- 1 tasse d’abricots séchés
- 1 tasse de canneberges
- ½ tasse de baies de Gogi
- ½ tasse de figues séches
- 1 tasse de noix concassées (amandes, noisettes, noix de cajou, graines de tournesol )
Autres ingrédients
- ¾ tasse de farine d'épeautre T 150 , ( GP) ou orge mondée ( PL), blé , seigle .( GP ) . .
- ¼ c. à thé de bicarbonate de soude
- ¼ c. à thé de sel de mer gris fin ou gros
- ¼ c. à thé de cannelle en poudre
- ¼ c. à thé de muscade en poudre
- 1/2 tasse de sucre de coco ou de miel (facultatif)
- 1/3 tasse d’huile de noix
- 2 c. à soupe de chia ou graines de lin + 6 c. à soupe d’eau tiède (pour remplacer les oeufs)
J'ai fais des modifications par rapport à la recette originale afin de respecter les IG,
Si on désire une recette PL , il faudra choisir des fruits secs à IG < ou = à 35 et une
farine PL.
J'ai choisis l'huile de noix pour son goût , mais n'importe qu'elle huile sera bien . . .
Méthode:
Dans un Bol mettre les graines de Chia et l'eau laisser gonfler
Dans un grand bol, mélanger les fruits séchés et les noix.
Préchauffer le four à 180C.
Tapisser un moule à pain de papier sulfurisé.
Dans un bol, mélanger les ingrédients secs.
Dans le bol contenant le chia gonflé ajouter l'huile et à l’aide d’un batteur électrique, crémer 1 minutes maximum. il devient mousseux et blanchit un peu , il augmente aussi de volume
À basse vitesse, incorporer les ingrédients secs à ce mélange ci-dessus.
Incorporer le mélange de fruits et de noix à la pâte.
Bien mélanger (avec les mains c’est plus facile qu’à la spatule). j'ai mélangé à la spatule tout c'est bien passé !
Vous pouvez aussi ajouter un petit peu de gros sel pour un mélange sucré salé . . . top ! ( Une idée de Diabolo )
Installer la pâte dans le moule à cake .
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Avant d'enfourner - Photo Yvonne D |
Cuire au four de 40 à 50 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre du gâteau en ressorte propre. Pour moi ce fut 38 minutes
Sortir du moule et laisser refroidir sur une grille.
Attention le gâteau est très très moelleux , il ne faut pas le casser . . . Et il sent super bon ! difficile d'attendre . . . mais il le faut . . . ! ! !
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Une fois démoulé . . . Photo Yvonne D |
Couper en tranches et déguster.
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Difficile à couper . . . mais tellement bon - Photo Yvonne D |
Bonne dégustation,
c'est un gâteau à bas IG mais très nutritif,
j'ai réduit un peu la quantité d' huile
et la prochaine fois je ne mettrai ni miel ni sucre car
tous les fruits secs sont sucrés,
je pense que ce sera suffisant au goût pour moi ! ! !
J'ai découvert les graines de Chia . . .
et je suis conquise pour remplacer les oeufs pour un gâteau GP
lundi 17 février 2020
Fabrication du pain au levain (suite)
Aujourd'hui, je vais vous donner la suite des éléments à prendre en compte dans la fabrication de votre pain au levain. C'est assez compliqué alors je vais essayer d'être le plus clair possible.
Il faut vous concentrer pour comprendre le processus et ensuite essayer de faire vous-même le calcul.
Dans votre pain, il y a de la farine, de l'eau et du sel. Mais les quantités diffèrent d’une variété de pain à l’autre.
Il y a d'abord le levain, qui est fabriqué avec de la farine et de l'eau, mais en quelles proportions ?
C'est là que tout se complique. Car pour faire un bon pain, ça dépend énormément du choix des farines. Et nous, avec nos farines intégrales, il faut bien s'accrocher.
Le pain perd environ 20% de son poids à la cuisson. Donc, pour avoir un pain d'environ 1 kg, il faut préparer 1,2 kg de pâte.
Dans cette pâte, il faut compter entre 10 et 15 % de levain qui a été rafraîchi 2 fois au préalable.
Et là, c'est aussi la sensibilité du boulanger qui fait la différence, car on peut mettre 12 ou 13 ou 14 ou 15, ça peut tout changer. Le boulanger connaît son levain par cœur et selon la farine qu'il utilise, la réactivité de son levain au dernier rafraîchi et son acidité, il choisira le taux de levain (TL) à ajouter à sa pâte. Car plus on met de levain, plus le pain risque d'être acide.
Mais prévoyons par exemple 15 % (mais c'est déjà beaucoup) pour un pâton de 1200 g, ça fait 180 g de levain (lors de l'atelier, nous avons mis 13%). Il faudra décider au dernier moment combien on en met, mais il vaut mieux en préparer assez.
Vous déduisez donc des 1,2 kg de pâte les 180 g du levain et il reste 1020 g pour la farine et l'eau (on ne compte pas le sel dans ce calcul)
Il y a ensuite le taux d'humidité de la pâte (TH) à définir et là aussi, c'est le boulanger qui doit décider selon sa farine, entre 70 et 80 % environ en général. Les farines complètes boivent beaucoup plus que les farines blanches. Pour le pain de seigle que j'ai préparé, j'ai mis un TH de 80%, et là encore, nous nous sommes rendus compte en fin de pousse que j'aurais pu augmenter à 82% le TH.
Comptons donc une moyenne de 75% pour une bonne farine intégrale d'épeautre, qu'on pourra éventuellement encore rectifier au moment du pétrissage.
Et la farine compte pour le 100%
Donc on fait : 1020 g divisé par 175 (100 pour la farine et 75 pour l'eau) x 100 = 582 g de farine
et 1020 moins 582 = 438 g d'eau à la bonne température, calculée selon la méthode que je vous ai expliqué dans mon post précédent.
Pour le sel, c'est 13 g par kilo de pâte calculé sur le total de la pâte (1200 g) soit 15,6 g de sel.
Ça, c'est pour le pétrissage de la pâte.
______________________________
Il faut maintenant calculer combien de levain vous devez rafraîchir, en deux fois, pour avoir assez de levain. Il faut 180 g de levain rafraîchi deux fois.
Le calcul est le même. mais il faut travailler à l'envers, en commençant par le deuxième rafraîchi.
pour obtenir 180 g de levain, il vous faut :
15% (de 180 g) de levain-chef du premier rafraîchi = 27 g
il reste pour l'eau et la farine : 180 moins 27 g = 153 g divisé par 175 (eau et farine) x 100 =
87 g de farine et 66 g d'eau à bonne température. On laisse fermenter entre 6 et 8 heures.
_________________________
Et pour le premier rafraîchi, vous prenez votre levain-chef que vous avez sorti du frigo 2-3 heures plus tôt et vous en extrayez le 15 % de 27 g de levain = environ 4 g de levain chef
il reste pour l'eau et la farine : 27 g moins 4 g = 23 g divisé par 175 (eau et farine) x 100 = 13 g de farine et le reste pour l'eau 10 g d'eau à bonne température. On laisse fermenter entre 4 et 6 heures.
C’est la façon dont on fait le calcul, c’est pour ça que je vous le donne. Les boulangers font comme ça, mais pour des quantités beaucoup plus importantes. Évidemment, on ne peut pas commencer à rafraîchir 4 g de levain, ça ne fait même pas une cuillère à café. Donc moi, je vous propose de simplement rafraîchir votre levain-chef que vous avez sorti du frigo 2-3 heures avant avec un peu de farine et d’eau à la bonne température, de faire la première fermentation. On en prélève ensuite 27 g pour faire le 2ème rafraîchi et on met le reste au frigo pour la prochaine fois. On ajoute à ces 27 g de levain 87 g de farine et 66 g d’eau et on obtient ainsi les 180 g de levain pour pétrir notre pain . On laisse fermenter ce levain entre 6 et 8 heures avant de commencer le pétrissage du pain.
C’est la façon dont on fait le calcul, c’est pour ça que je vous le donne. Les boulangers font comme ça, mais pour des quantités beaucoup plus importantes. Évidemment, on ne peut pas commencer à rafraîchir 4 g de levain, ça ne fait même pas une cuillère à café. Donc moi, je vous propose de simplement rafraîchir votre levain-chef que vous avez sorti du frigo 2-3 heures avant avec un peu de farine et d’eau à la bonne température, de faire la première fermentation. On en prélève ensuite 27 g pour faire le 2ème rafraîchi et on met le reste au frigo pour la prochaine fois. On ajoute à ces 27 g de levain 87 g de farine et 66 g d’eau et on obtient ainsi les 180 g de levain pour pétrir notre pain . On laisse fermenter ce levain entre 6 et 8 heures avant de commencer le pétrissage du pain.
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Là, vous avez maintenant tous les éléments de base pour bien réussir votre pain.
Vous commencez donc par rafraîchir votre levain-chef vers 18-19 h environ avec un peu de farine et d'eau à bonne température et vous le laissez fermenter jusqu'à 22-23 heures environ.
Vous prélevez ensuite 27 g de ce levain que vous rafraîchissez avec 87 g de farine et 66 g d'eau à bonne température et vous laissez lever jusqu'au lendemain matin. Le reste du levain va au frigo comme levain chef.
Le matin, vous prenez vos 180 g de levain pour votre pâte (ou moins si vous décidez de mettre moins de 15 %). Vous mettez 582 g de farine de votre choix dans un saladier ou dans votre robot, votre levain et la presque totalité des 438 g d'eau (à bonne température) dans laquelle vous aurez ajouté le sel (15,6 g). Il faut toujours garder environ un demi-décilitre en réserve pour régler le TH lors du pétrissage. Vous pétrissez votre pâte et si nécessaire, ajoutez l'eau restante. Et là, il faut faire usage de votre sensibilité et de votre toucher de la pâte pour le dosage de l'eau. Il faut bien observer l’élasticité de la pâte en se disant que la farine va encore absorber un peu d’humidité durant son repos. Si vraiment nécessaire, vous en ajoutez encore un peu (toujours à bonne température). Vous contrôlez la température de votre pâte. Votre pétrissage terminé, vous faites encore 4 replis de la pâte sur une surface farinée , puis 3 à 4 fois encore 4 replis sur la demi-heure qui suit. Ensuite, vous mettez votre pâte au repos dans un récipient recouvert d'un linge humide à une bonne température pour le pointage de 4-5 heures ou plus selon l'évolution de la pâte.
Et vous continuez la fabrication de votre pain comme je vous l'ai déjà décrit lors du dernier post.
Encore un petit truc de boulanger : si vous remarquez que vous avez trop mis d’eau, il ne faudrait pas ajouter de farine en fin de pétrissage. Vous pouvez alors essayer de dynamiser un peu votre pâte en faisant 3 ou 4 fois durant le pointage des replis de la pâte. Ça peut parfois aider à stimuler la pâte. Par contre, il faudra vraiment faire la deuxième levée dans une corbeille pour éviter que le pain s’affaisse trop durant l’apprêt.
Encore un petit truc de boulanger : si vous remarquez que vous avez trop mis d’eau, il ne faudrait pas ajouter de farine en fin de pétrissage. Vous pouvez alors essayer de dynamiser un peu votre pâte en faisant 3 ou 4 fois durant le pointage des replis de la pâte. Ça peut parfois aider à stimuler la pâte. Par contre, il faudra vraiment faire la deuxième levée dans une corbeille pour éviter que le pain s’affaisse trop durant l’apprêt.
Voilà donc toute la complexité de la fabrication du pain au levain. J'ai essayé d'être claire, même si je sais qu'expliquer par écrit, c'est beaucoup plus difficile que lors d'un cours oral et pratique. Le mieux c'est de faire une fois le calcul par rapport à votre pain et de garder ensuite ce calcul pour la fois suivante, en rectifiant si nécessaire selon le résultat obtenu lors de la cuisson. Et d'adapter un peu selon la saison et la chaleur. On ne peut pas travailler avec de si petites quantités aussi bien qu'avec des quantités de 10 ou 20 kilos de pâte. C'est beaucoup plus difficile de travailler avec des petites quantités.
Bon, vous l’aurez compris, j’ai vraiment attrapé le virus et si je le pouvais, je changerais de métier et me lancerais dans la fabrication de pain au levain au niveau professionnel. Mais malheureusement, on ne peut pas toujours faire ce qu’on veut. Parce qu’il me faudrait d’abord faire construire un grand four à pain, et ça, c’est malheureusement au-dessus de mes moyens...
Bon, vous l’aurez compris, j’ai vraiment attrapé le virus et si je le pouvais, je changerais de métier et me lancerais dans la fabrication de pain au levain au niveau professionnel. Mais malheureusement, on ne peut pas toujours faire ce qu’on veut. Parce qu’il me faudrait d’abord faire construire un grand four à pain, et ça, c’est malheureusement au-dessus de mes moyens...
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