Elle a pourtant atteint ses lettres de noblesse grâce à une certaine Madame Poulard !
Et c’est peut-être justement parce que ce plat semble banal qu’on n’y pense pas forcément.
Et pourtant, voila une agréable façon de se régaler à peu de frais, en réinventant chaque fois sa recette.
Cela pourra donner des idées à certaines ?!!!
Je vais vous proposer une des miennes, que j’aime particulièrement.
Je l’appelle : l’omelette ibérique
Ingrédients pour deux, trois ou quatre personnes selon les appétits !
1 poivron rouge
1 poivron vert
2 oignons émincés
2 gousses d’ail
12 tranches de chorizo pas trop fines
5 œufs
Sel, poivre
Préparation
Commencez par couper en deux les tranches de chorizo et faites-les griller à sec recto/verso dans une poêle bien chaude. Attention, ça va assez vite !
Posez-les ensuite sur du papier absorbant.
Enlevez la graisse de la poêle en conservant les sucs de cuisson.
Si vous utilisez des oignons frais, mettez 2 cuillères à soupe d’eau à chauffer avec, si ce sont des oignons surgelés, mettez-les tels quels, ils rendront de l’eau en chauffant. Ajoutez les gousses d’ail émincées et faites fondre doucement.
Mettez alors les poivrons que vous aurez préalablement coupés en lanières, sel, poivre, couvrez et laissez mijoter une vingtaine de minutes en remuant de temps en temps. Adaptez le temps de cuisson selon que vous aimez les poivrons bien cuits ou encore un peu fermes.
Goûtez, rectifiez l’assaisonnement. Battez les œufs avec sel et poivre (pas trop, pensez qu’il y aura le chorizo). Versez sur les poivrons. Disposez les ½ rondelles de chorizo harmonieusement dans la préparation, pour qu’ils se réchauffent et soient bien pris dans l’omelette. Lorsque les œufs sont cuits comme vous les aimez, il n’y a plus qu’à servir avec une belle salade verte par exemple.
Je pense qu’il doit exister autant de recettes d’omelettes que de cuisiniers(es) !
Alors voila ce que je vous propose.
Faites la vôtre à l’occasion, racontez-moi comment vous la préparez, n’oubliez pas de faire une photo et envoyez-moi le tout afin que votre recette vienne enrichir cette thématique.
Je suis certaine que nous allons découvrir de petits trésors !
A vos papinettes !
Aaaaaaaaaaaaaaah l'omelette de la mère Poulard du Mt St Michel!!!!!mmmmmmmmmmmmmmmmmmmm!!!!
RépondreSupprimerTu sais Dog, ma famille maternelle vient de Normandie!
Mon arrière grand mère vivait à Granville et nous y allions chaque été! ciré jaune, bottes en plastique et pêche aux crevettes à marée basse!
Le Mont St Michel? je connais par cœur!
Aaaah la Normandie avec son vent et sa pluie!!!!
Et le calva!!!! les craquelins! les lançons!!! bons souvenirs!
Bon, je le note : après le plateau de fruits de mer, on ira manger une omelette au Mont, je n'habite pas très loin.
SupprimerJe connais bien aussi, ma grand-mère habitait Fougères, alors une journée au Mont St Michel tous les ans, et des oncles dont un Directeur d'école à Bazouges la Pérouse, cela ne s'invente pas, un autre à Cancale et moi j'ai passé beaucoup de vacances à St Malo. Mais je n'aime pas pour autant l'omelette telle qu'elle soit.
SupprimerMon mari a de la famille d'origine bretonne à Cherbourg et nous nous y rendons à peu près tous les deux ans.
SupprimerHuum les craquelins !!! C'est trop bon ! Mais est-ce bien BDG ???!
Mais le Mt St Michel, c'est pas un peu breton ? En tout cas Cancale et ses superbes huîtres, c'est sûr !! J'aimerais bien revoir St Malo, j'en garde un beau souvenir.
Mais par dessus tout, je rêve de retourner dans le Finistère et pourquoi pas de m'y installer un jour.
Oh Bidule! si un Normand te lit, ses cheveux vont se hérisser sur sa tête! le Mont est normand!!!!quant aux craquelins, non, bien sûr, c pas BDG!
RépondreSupprimerJ'aimerais tant qu'Audrey connaisse le Mont St Michel!
Le problème, ce sont les chiens!
Nous avons besoin d'une baby sitter!!!!
Mais Bidule n'a pas tout à fait tort car le Mont s'est autrefois trouvé en Bretagne.
RépondreSupprimerCette merveille est en fait dans une zone limitrophe entre la Bretagne et la Normandie.
A cet endroit se trouve une rivière appelée le Couesnon.
Au cours d'une mémorable tempête comme on sait les faire ici, le Couesnon a changé de lit et par là même, a fait passer le Mont de l'autre côté.
On dit d'aileurs :
" Et le Couesnon en sa folie
Mît le Mont en Normandie"
Oui,je savais ça! il n'empêche qu'il est bien en Normandie!
RépondreSupprimerun site magnifique ! avec ou sans oeufs!
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